Paul Biya, l’atout-maître
Par Jean Daniel Nzegue à Paris
Unanime. Difficile. Voir même quaisiment délicat de dire si le prince procédera à un réaménagement ou pas. Quel jour encore moins ni à quelle heure le verdict tombera. Le magistère qui entoure le sécret du décret présidentiel reste une factualité à nulle autre pareil. Au Cameroun comme dans bien d’autres pays du Monde la magie du décret presidential reste un mythe. On peut pas lire sur les boules de christal. A Yaoundé l’on s’est définitivement que le calendrier du prince reste introuvable meme les plus proches restent à l’écoute. Tout le monde est unanime sur le sujet. Difficile de cataloguer le prince. En 32 ans de pouvoir, le president Biya reste maitre du temps. A chaque sortie, à chaque instant du jeu politique, l’homme du 6 novembre 1982 prend tout le monde à contre pied. A tel point qu’il faille ne plus faire recourts au jeu de pronostique si l’on tient à ne pas perdre le sommeil. De fil en éguire, le prince d’Etoundi, a toujours répondu à une exigence celle de la sacralité de la fonction présidentielle. Il faut bien entourer cette fonction des orgues d’obscurantismes sur la notion d’Etat fort. Mais au délà de toutes convectiges, le president reste le patron du temps. L’urgence, c’est pour les autres. Au palais d’Etoundi on s’arrime à la cadence du Chef et rien à dire. Le temps est suspendu à la decision du commandant de bord.
Le prince d’Etoundi
A vrai dire, selon les sources dignes de fois, il est difficile de parler du president Biya. S’il y a une cerautude partager par tout le monde c ‘est qu’il est difficile de le cataloguer. Le secret qui entoure le décret reste un mythe. La seule alternative serait de rester prêt à deposer les clés lorsqu’on entre au gouvernement. Avec le prince on ne sait jamais a quel sort on sera fixé ni la date ni le lieu encore moins la période. Comme un soldat aux ordres d’on devrait juste s’en tenir prêt à agir. Même si le patron dort, il faut rester évéiller. Les calendriers ne dependent que de celui qui fait et defait les hommes. Le 02 mars dernier, le president l’a encore fait savoir qu’il reste le maître du temps. C’est à lui et à lui seul qu’il revient de faire basculer le temps. On peut aisement passer du froid à la chaleur, du Bonheur au malheur, des gloires et déboires, de dernier à premier, seul par la force du décret. Juste une seule seconde et tout peut changer.
Le contre pied parfait.
Même pour ses plus proches collaborateurs, tout n ‘est pas joué. On peut meme se targer d’être le vice-présidnet et se retrouve tout au fond de la République. Au point qu’il faille procéder par la resilience. Au tant on sera monté au sommet qu’il faudarit preparer sa chute. Mais le seul commandant et qui ne changera c’est bien le president qui bénéficie de la charge du pouvoir des urnes. Le peuple l’ a choisi et à lui de faire d’autres princes dans la cour. Si le temps nous tient à la george, il n’en demeurre pas moins que le vrai propriétaire du temps, c’est le prince.